Cet atelier est organisé par la Commission pour l’Interdiction des Armes de Destruction Massive en Côte d’Ivoire (CIADMCI) anciennement Secrétariat Permanent de la Commission pour l’Interdiction des Armes Chimiques en Côte d’Ivoire (SPCIAC – CI) en collaboration avec le Bureau des Affaires de Désarmement des Nations unies (UNODA) à travers son unité d’appui à la mise en œuvre de la convention sur les armes biologiques basé à Genève.
Il vise à sensibiliser les parties prenantes locales et internationales sur les enjeux de la mise en œuvre de la convention.
Cet important rendez-vous réunira 40 participants, incluant des représentants nationaux,des fonctionnaires de l’Office des Nations unies à Genève, des représentants d’États membres ainsi que des organisations internationales. Au nombre des participants, 30 ivoiriens, un togolais, une marocaine et 08 experts (ONU, OMS, OMSA, Centre d’Excellence UE.)
Six (06) sessions meubleront cet atelier. Il sera abordé au cours de ces sessions, l’introduction à la Convention sur l’interdiction des Armes Biologiques (CIABT), la mise en œuvre nationale de la CIABT en Côte d’Ivoire et échange régional d’expérience, le renforcement de la préparation des rapports de Mesures de Confiance en Côte d’Ivoire, la mise en œuvre de la décision 1540 du Conseil de sécurité en Côte d’Ivoire, la prévention et la réponse aux défis de biosûreté et de biosécurité, les prochaines étapes et mise en place d’un plan d’action pour la mise en œuvre de la CIABT en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire à travers la la Commission pour l’Interdiction des Armes de Destruction Massive en Côte d’Ivoire se présente comme un acteur engagé pour la paix et la sécurité et se positionne comme un incubateur de la conscience mondiale pour la lutte contre les armes de destruction massive.
Pour rappel, la CIABT a été ouverte à la signature le 10 avril 1972 et est entrée en vigueur le 26 mars 1975 après que 22 États ont déposé leur instrument de ratification. Cet accord international signé et ratifié engage les Etats Parties à ne pas mettre au point, à ne pas fabriquer et à ne pas stocker des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et à détruire les armes existantes.
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